The English edition of this book is available under the title the bus 2.
During the years 1974 to 1986, after working as an assistant to Wally Wood, Paul Kirchner created several comic strips such as Dope Rider for High Times magazine and the bus for Heavy Metal. In 2012, Tanibis published an anthologie of the bus strips that was nominated at the Angoulême International comics festival, proving that even a 30-year old public transportation vehicle can take part in a Grand Prix.
In 2013, Paul Kirchner surprised commuters when he decided to start working again on the bus. He fixed the old vehicle up, took it out of the garage and called its iconic passenger in the white overcoat back on duty, waiting to be taken on new, exotic adventures. The bus' unpredictable personality causes him to mimic classic pop culture icons such as King-Kong or Steve Martin while in turn analyzing or teleporting his passenger. And that's only when it's not cheating on him with other commuters.
Kirchner's new ideas are on par with the original strips, proving that his creativity didn't end with the 80's. The crazy cartoon logic of the original strips is still present, and wackiness is the norm. Some details, such as the so-called « smart » phones or the passengers' looks, root the stories in the 21st century, but Paul Kirchner's universe retains a timeless vintage aesthetic that blends eras, lending these new stories a hint of nostalgia.
The bus 2 will be published in hardcover horizontal format identical to the previous collection.
Back in that twilight dimension he calls home, it is rumored that Paul Kirchner is at work on new material for his psychedelic western Dope Rider. After all it seems that the bus' passenger is not the only one who gets caught occasionally in strange time warps…
Parts of the bus 2 material have previously been published in magazines in north America and in Europe.
« (…) La brièveté donne son charme à cet album. Pas le moment ici de s'appesantir sur la théorie de la relativité à la façon d'un Marc-Antoine Mathieu, aucun développement métaphysique ne s'échafaude. Les saynètes s'embrassent d'un seul coup d'oeil mis en valeur par l'épure du trait et les masses de noir et blanc. Juste le temps d' y repérer quelques signes, et elles s'enchaînent comme les variations sur quelques effets d'optique récurrents. Imaginons des Oulipiens qui n'auraient pas fait école pour préserver l'aspect ludique de leurs recherches. Le concepteur de jouet qu'est Paul Kirchner revendiquerait sûrement cette approche. (…) »
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Masa, Le Monde
« (…) Le dessin de Kirchner est très précis, d’un noir et blanc soigné aux hachures parfaitement alignées. Ce côté froid, clinique, contraste avec la folie des situations présentées. Le principe est toujours le même, l’homme attend son bus et soudain tout dérape, et le quotidien se détraque. A partir de là, c’est une suite de variations comiques ou angoissantes, absurdes ou fantastiques. Ce sont aussi les codes du dessin eux-mêmes qui faussent parfois la réalité que l’on croyait sûre et tranquille derrière son apparence studieuse : les perspectives se dérobent, le trait perturbe les attentes et brouille la normalité rassurante. (…) »
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Alexis Laballery, Parutions.com
« (…) C’est donc une excellente surprise que ce retour de Paul Kirchner au volant de son bus, après 25 ans de garage. Il a en effet repris les crayons avec autant d’envie et d’énergie, a légèrement modernisé ses ambiances (notamment dans les accessoires et les vêtements), mais l’essentiel est toujours là, comme on a pu le constater dans la prépublication de ses strips dans la revue Aaarg! notamment. Alors n’hésitez pas, et foncez prendre le bus numéro 2, toujours parfaitement édité par Tanibis. »
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Benjamin Roure, BoDoï
« Un deuxième tome qui vous transporte comme sur des roulettes! »
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Julie Cadilhac, La grande parade
« (…) Le scénariste explore et gratte le réel dans le seul but de surprendre. Les jeux sont tour à tour logiques, graphiques et culturels (les références cinématographiques et picturales sont légions). Ce mélange entre simplicité apparente et clin d’œil de connivence rend la lecture passionnante et immanquablement percutante. (…) »
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A. Perroud, BD Gest'
« (…) Il se dégage de ces planches un charme presque hypnotique qui nous surprend tandis que nous dévorons ce petit album au format à l'italienne ! Une très belle surprise qui signe le retour de Paul Kirchner, et de son graphisme extrêmement propre et beau ! »
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FredGri, Sceneario.com