Colors by Philippe Ory
Faux accords, the first volume of Connexions published in 2020, crossed the stories of several characters at a turning point in their lives. A professional opportunity, a painful break-up or an accident often confronted them with thorny life choices. Pierre Jeanneau embarked us on a choral tale served up by nervous drawing and an original formal device, combining isometrically-represented fixed sets and processes inspired by theater and video games.
Châteaux de sable develops new graphic ideas and adds new threads to the narrative. Characters appearing in the background of the first volume become the protagonists of this one, and vice versa. Like Julian and his sister Audrey, whose family has been hit hard by the events of the previous chapters, or Déborah and Samuel, whose lives have been turned upside down by the arrival of their first baby. All this little world revolves around Le Rossignol, a non-profit squat whose existence is under threat.
Some dream of making a home, others struggle to shelter an exiled family... All, in their own way, have to deal with an urban environment that resists them. Intense, moving and ultimately soothing, this second and final volume deepens the portrait of a generation trying to build a future for itself.
(Automatically generated translation)
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« Au fil de ses histoires, Pierre Jeanneau intègre des questionnements sociétaux — tels que la gentrification, l’état des services de santé, l’aide aux réfugiés… — aux interrogations personnelles rencontrées par ces personnages au cours de leur parcours de vie. La virtuosité de l’auteur nous place dans un monde situé quelque part entre Chris Ware, Robert Altman, Marc-Antoine Mathieu et Claude Sautet : un monde à l’image du nôtre. »
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Brigh Barber, BD zoom
« (…) S’il est doté d’une plastique narrative acrobatique, Connexions est avant tout un véritable roman social d’aujourd’hui, doté d’une généreuse distribution très bien caractérisée. Pierre Jeanneau y démontre un véritable talent d’auteur doté d’une sensibilité précieuse et d’un sens de l’observation et de la synthèse incontestable. »
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Antoine Perroud, BD Gest'
« (…) Complexe mais utile pour comprendre le math rock. »
Géant Vert, Rock & Folk
« Dans cet opus comme dans le précédent, l'important reste l'ensemble : la fresque à laquelle ils et elles participent tous, débordant de vrai. Des amis et des familles urbaines en résistance contre une ville qui refuse d'accueillir, de réunir ou de loger dignement ; sans pour autant ouvrir un boulevard à l'abattement ou au fatalisme. C'est peut-être là la plus grande force du diptyque Connexions. »
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Laure Solé, Le petit bulletin
« (…) Truffé d’ingéniosités graphiques, telles ces vues en plongée rappelant certains jeux vidéo, ce second tome est la suite d’un premier album, sélectionné à Angoulême en 2021, remarquable par sa construction où s’imbriquent
par petits bouts des morceaux de vie jusqu’à former un fascinant puzzle humain. (…) »
Aurélien Lachaud, La Croix
« (…) Pour parler du temps qui passe, des amitiés qui durent ou qui se brisent, des histoires d’amour qui s’enflamment et s’éteignent, de la transmission ou du souvenir, Pierre Jeanneau s’est lancé dans un grand récit choral où plusieurs vies se chevauchent grâce à une mise en scène très graphique. Dans ces deux volumes de Connexions, il repense nos habitudes de lectures en repensant l’agencement des cases, et en proposant des planches faites de pleines pages ponctuées d’alvéoles, de cases dans les cases qui lui permettent de faire des focus, des effets de zoom et des jeux de temporalités sur une même planche. (…) »
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Thomas Mourier, 9e art
« (…) Dans la manière dont Jeanneau entremêle ses histoires et sème de façon très ludique ses indices, il y a un parallèle à établir avec Ici, l'œuvre magistrale de l'Américain Richard McGuire. »
Ronan Lancelot, Canal BD
« (…) C’est bien dans sa manière si singulière de représenter cette ville jamais nommée, qui renvoie à la 3D isométrique d’un jeu vidéo, que Connexions impressionne le plus, dans cette façon de révéler progressivement l’environnement dans lequel évoluent les personnages. (…) »
Christophe Butelet, JV le mag