« (…) Que cet album tienne de la fable psychédélique et intello sur la fin de l'innocence, de la métaphore pleine d'humour et de subversion autour des paradis artificiels, ou sans doute un peu des deux, peu importe : les amateurs de BD "différentes" ne doivent manquer cet étonnant Sous la maison sous aucun prétexte, si ce n'est peut-être l'épilepsie. Leurs rétines ne peuvent en effet pas rester insensibles aux arcs-en-ciel hypnotiques et autres mandalas, tous extrêmement graphiques, inventés et dessinés par le jeune et surdoué Jesse Jacobs. »
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Olivier Van Vaerenbergh, Focus Vif
« (…) À la fois chronique de l'adolescence et étrange rite d'initiation new age, Sous la maison propose une expérience de lecture des plus originales. Le dessin légèrement enfantin du Canadien Jesse Jacobs lui permet toutes les fantaisies, d'où l'extrême plaisir graphique procuré par cet album faussement innocent. (…) »
Vincent Brunner, Les Inrocks
« (…) C’est un ravissement pour les yeux mais au-delà de l’exercice formel réussi, derrière ce côté un peu autiste d’une mise en scène très encadrée, il y a cet humour un peu triste qui parcourt ces planches : une belle évocation de l’âge ingrat, et des émotions adolescentes qui oscillent entre sensibilité pure et débilité profonde.
Sous la maison est une nouvelle pépite d’un auteur résolument à part, et pas si obscur qu’il n’y paraît. »
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Alexis Laballery, Parutions.com
« (…) Jesse Jacobs fascine, déstabilise, use du dessin comme d’un moteur narratif puissant, où la joie et la peur se côtoient comme larrons en foire. Si, si, c’est possible. Allez donc voir Sous la maison… (…) »
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Benjamin Roure, BoDoï
« (…) Sorte de trip psychédélique sous LSD, état de conscience supérieur ou petit monde caché dans le vide sanitaire – le titre original de Sous la maison est Crawl Space - du pavillon ? Des pistes nous sont données, mais la réponse n’est finalement pas le plus important. C’est bien l’exploration de cet espace qui concentre l’intérêt du livre. (…) »
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Frédéric Hojlo, Actua BD
« (…) L’auteur se met en adéquation avec son propos et le lecteur subjugué se retrouve fasciné lui aussi, par les formes géométriques, les sortes de mandalas multicolores, les pages muettes comme animées et les passages flottants dans l’inconscient. Beau. »
Jean-François Caritte, Psikopat
« (…) Explorer un autre niveau de conscience afin de sortir de la banale routine quotidienne… Sacrée proposition n’est-ce pas ? Oui, Jesse Jacobs est ambitieux, mais il est à la hauteur de ce qu’il propose. Sa réussite, c’est une parfaite osmose entre le caractère barré de son histoire et l’association dessin/narration avec laquelle il la met en scène. (…) »
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Yaneck Chareyre, 9eART.fr
« (…) Le scénario se révèle alors plus profond et plus captivant qu'il n'y paraît au premier abord. On est intrigué par ce que l'auteur nous raconte, mais surtout par ce que vivent ces jeunes gens. (…) »
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Fregri, Sceneario.com
« (…) On peut aussi voir dans Sous la maison un message écologiste. Ce lieu pur avec des créatures chatoyantes est mis à mal et détruit par les Hommes. Comme si l’on devait faire attention aux lieux préservés. (…) »
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Damien Canteau, Comix Trip
« À lire les chakras grands ouverts. »
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Pacôme, Radio Vostok
« Il est très rare de croiser quelque chose de vraiment nouveau, c'est ici le cas et c’est pourquoi nous soutenons chaudement cet album ainsi que les éditions Tanibis dont les choix éditoriaux audacieux mais jamais hermétiques contribuent à offrir de l’espace pour une autre bande dessinée. »
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L'Avis des Bulles, Sofie von Kelen
« Jesse Jacobs continue son parcours d’auteur et nous offre une histoire incroyable. Mélangeant monde coloré et noir et blanc, elle entrelace sa vision folle d’un autre monde et son triste regard sur la jeunesse d’aujourd’hui. (…) »
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À voir à lire, David Neau
« (…) Sous la maison est à la fois une histoire de passage à l'âge adulte et un spectacle abstrait, surréaliste et extravagant. C'est un triomphe visuel dont chaque nouvelle visite révèle une nouvelle couche. (…) Par son utilisation de la couleur, de l'espace et du mouvement, Jesse Jacobs évoque les nouveaux états de conscience de ses personnages, alors que la banalité du monde « réel », en contraste, est rendue par un noir et blanc austère. (…) L'une des grandes prouesses de ce livre est d'exprimer toute l'étrangeté des sensations que peut procurer la plongée dans un niveau de conscience radicalement différent. (…) »
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Andy Oliver, Broken Frontier
« (…) Jesse Jacobs a crée un chef-d'oeuvre de livre qui rappelle Flatland d'Edwin Abbott tout étant bien plus que ça. Son univers visuel psychédélique et éclatant évoque par lui-même des dimensions plus élevées, en lui-même il est une sorte de portail vers d'autres mondes. Le lire, se perdre au milieu des rayons d'arc-en-ciel, des explosions de couleur, des formes toujours changeantes, c'est faire l'experience de quelque chose de différent, quelque chose d'unique. (…) »
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Pop Matters
« (…) L'histoire de Sous la maison tient d'un carambolage unique de genres, mais ce que les lecteurs en retiendront le plus est sa mise en image, psychédélique de bout en bout. L'imagination visuelle de Jesse Jacobs est une composante importante de tous ses livres, dont … et tu connaîtras l'univers et les Dieux et Safari lune de miel, mais dans Sous la maison elle prend une place encore plus importante. Elle donne à voir une sorte d'état de conscience supérieur. (…) »
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Robert Boyd, The Comics Journal
« (…) Sous la maison mélange surréalisme, romantisme, et existentialisme avec une bonne dose du Wall of Sound de Phil Spector. Des cases multicolores jaillissent de chaque page, pour une experience visuelle impressionnante. (…) Si les Wachowski avaient tourné le scénario de Matrix avec les couleurs de Speed Racer, cela aurait peut-être ressemblé à Sous la maison. (…) »
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Ben Boruff, Comic Bastards