19 x 25 cm
72 pages en noir & blanc
couverture en trichromie
Paru en avril 2002, épuisé
7.5 €
Rhinocéros contre éléphant n° 3
Collectif
ALPH'ART FANZINE AU FESTIVAL D'ANGOULÊME 2003
Au sommaire : Claude Amauger, Julie Argouse, Aurélia Aurita, Ivan Brun, Hervé Carrier, Sylvie Fontaine, Flora Huynh, Patrick Jann!n, Lucas Méthé, Eva Pena, Samaël & Solea.
Couverture d'Ivan Brun.
Équipé en standard d'une seconde couverture intérieure, ce numéro déborde de scoops et de révélations en tous genres ! Nos services secrets ont réussi à infiltrer les réseaux de presse pachydermes et à subtiliser quelques pages d'un journal d'actualité du pays Rhinocéros et Éléphant. Nous saluons ici tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour que nous puissions publier quelques unes de ces 14 pages qui apportent un regard nouveau sur les deux mastodontes.
Et comme si nous n'étions pas suffisamment racoleurs, ces pages scandaleuses viennent encadrer le sang et l'amour qui s'épanchent sur 56 pages de bandes dessinées réalisées par 11 auteurs paparazzis.
« Lauréat mérité de l'Alph'Art 2003, ce beau zine (peut-être trop propre sur lui pour certains) est une réussite éditoriale. Une maquette qui peut rappeler une certaine distanciation vue dans les catalogues de l'Association, mais une rigueur qui étonne quand on connaît l'âge des auteurs. Graphiquement inégal, mais toujours ambitieux, RCE promet de nous étonner encore longtemps. »
Philippe Morin, PLG
« Rhinocéros contre éléphant n°3, revue collective éditée par l'association Thot l'ibis, est un bel exemple de ce qui se fait de mieux en matière de création à l'heure actuelle. Rédactionnel plein d'humour et de dérision et, surtout, compilation de récits courts signés d'auteurs dans un ton original. Mention spéciale à Aurélia Aurita et Flora Huynh ! »
La Lettre
« Le printemps s'annonce et qui dit printemps dit réveil des sens, l'envie de conter fleurette et de parler d'amour à tout bout de champ. C'est sur cette thématique que revient l'excellent fanzine Rhinocéros contre éléphant pour un n°3 consacré à la passion ravageuse. Une noire réflexion sur ces sentiments qui hantent le genre humain et où la conclusion serait à trouver dans l'histoire de Méthé : en amour, mieux vaut ne pas se poser trop de questions ! »
BoDoï
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SÉRIGRAPHIE DE SAMAËL
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