« Histoire belle mais tragique d'un amour avec un animal de compagnie pas comme les autres. »
Willem, Charlie Hebdo
« (…) Relecture tordue du conte où le crapaud se transforme en prince charmant ? Oh, Lenny est tout cela à la fois, et bien d’autres choses encore. C’est aussi et surtout une jolie trouvaille du rare Aurélien Maury (…) qui signe un album dont la ligne est aussi claire que le propos vénéneux, une histoire fluide, bien ficelée et particulièrement inquiétante. (…) »
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Stéphane Jarno, Télérama
« (…) La grande réussite de cet épais one shot est le subtil équilibre trouvé entre son registre horrifique et sa mise en scène tout en retenue. Un regard, un geste, des cadrages parfaits et un savant agencement des plans : Aurélien Maury insuffle autant d'amour que de terreur dans la fuite de son héroïne et son "fils" monstrueux, sans jamais juger ni trancher. À la fois fascinant et repoussant, dérangeant mais jamais gratuit. (…) »
Benjamin Roure, Livres Hebdo
« (…) Un récit qui part très loin dans le bizarre que je vous recommande absolument ! (…) Très fort comme scénario et comme dessin ! (…) »
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Antoine Guillot, Mauvais Genres, France Culture
« (…) Commencé sur un mode presque enfantin, l’album impose un malaise grandissant, qui va en particulier toucher les amis des bêtes (dont je suis) avec la question : est-il bien raisonnable d’accueillir un animal perdu ? En tout cas, sous ses airs faussement anodins, voilà une réussite exemplaire. »
Jean-Pierre Andrevon, L'écran fantastique
« (…) Un vrai récit d’aventure, surnaturel, horrifique par moment, avec une tension et une excitation véritable de lecture ! (…) »
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Xavier Vanbuggenhout, Entrez sans frapper, RTBF La première
« (…) Tout en nuances, Oh, Lenny nous interpelle, nous échappe aussi parfois (comme toutes les plus grandes œuvres) et nous plonge surtout dans une angoisse profonde, reflétant sans aucun doute celle de son héroïne qui tente d’échapper à une vie dans laquelle elle se sent enfermée. (…) Un grand album. (…) »
Christophe Butelet, JV le Mag
« (…) Aurélien Maury a réussi à nous enrober l’histoire la plus malaisante de ce début de 2024 dans un paquet cadeau tout lisse et absolument impeccable. L’histoire d’abord : d’une crise de couple anodine dans l’Amérique de la classe moyenne supérieure, Aurélien Maury fait un thriller horrifique où se mêlent l’addiction au plaisir toxique, émancipation féminine et la navrante banalité d’une vie en milieu néo-libéral. (…) »
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Maxime Gueugneau, Nova Lyon
« Aurélien Maury s'offre un grand roman graphique où sa ligne claire faussement classique s'imbibe de science-fiction, d'étrange et de mal-être. »
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Olivier Van Vaerenbergh, Focus Vif
« (…) À la manière d'un oignon qu'on épluche, l'auteur fait évoluer son récit dans une direction originale qui ne donne pas envie de rester seule à la maison pendant que Monsieur travaille. »
Géant Vert, Rock & Folk
« (…) Un véritable page-tuner qui, fort d’une ligne claire inhabituelle pour le genre, slalome entre Gremlins et le Blood de Brad Anderson sans jamais se prendre de poteau. Une histoire profondément touchante sur l’amour cannibale, la solitude subie ou consentie et le monstre qui sommeille en nous. Lecture mutante du trimestre, assurément ! (…) »
Bruce Tringale, Geek Magazine
« (…) On se croirait dans un des premiers films de Polanski. (…) »
Ronan Lancelot, DBD
« (…) Un drame horrifique qui se cache derrière un dessin en couleurs et en rondeurs, ne laissant rien transparaître des abîmes dans lesquels il plonge ses lecteurs. (…) »
Laure Solé, Le petit bulletin
« (…) La couverture semble contenir la promesse d’une aventure en plein air, peut-être au grand large, avec une jeune femme en héroïne, rousse comme un célèbre reporter du Petit Vingtième. Le début évoque plutôt une comédie dramatique du quotidien, avec une narration visuelle de type Ligne Claire, d’une lisibilité immédiate et très agréable. Un élément fantastique vient apporter la possibilité d’une autre vie pour l’héroïne, plus épanouie, moins matérialiste, plus en accord avec ses émotions. Toutefois il y a un prix à payer, et June accepte de passer d’une dépendance à une autre. Régulièrement le lecteur repense au sort du crabe dans les tentacules de la pieuvre, comme une métaphore de de ce que la jeune femme consent pour accéder à une forme de sérénité. »
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Présence, Bruce Lit !
« (…) Surprenant et glaçant ! (…) »
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Damien Canteau, Comixtrip
« (…) Un mélange troublant, glaçant, captivant. »
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Michaël Degré, L’avenir
« (…) Mais qui est Lenny ? Cette bande dessinée est un drôle de voyage coloré pour une sombre histoire. Intrigant et déconcertant, Oh Lenny est pour ceux qui acceptent de ne pas tout comprendre à la première lecture ! »
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Élise, La Montagne
« Oh, Lenny, histoire d’amour gore entre un poulpe vampire et une jeune femme perdue est la claque de l’année. (…) »
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Jean-Marc Panis, Moustique
« Ô sombre héros de la ligne claire, gloire à toi Aurélien Maury ! Ou devrait-on écrire ligne clairement ambiguë tant la pureté du trait et sa parenté avec l’école de Bruxelles suggérerait le classicisme sage. Car Oh, Lenny conduit son lecteur sur une piste trompeuse, tout d’abord lisse comme un enrobé neuf, puis bosselée, enfin totalement sauvage. (…) »
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Librairie Esprit BD
« (…) Mêler avec autant de malice et de talent le dessin en ligne claire soignée et le récit angoissant solide, n'était en effet pas donné à tout le monde. Le temps n’est rien lorsqu’on patiente pour ce résultat, mais... « Memento Maury ! » »
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Franck Guigue, Planète BD
« (…) Le trait en ligne clair, souple et gracieux sert parfaitement le propos de l’intrigue, même s’il impose un œil assez neutre, en fin de compte. Mais certaines scènes « hallucinatoires » dans la dernière partie, sont tout simplement éblouissantes dans la forme, la maitrise de la fluidité narrative. Du très grand Art. (…) »
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FredGri, Sceneario.com
« Dérangeant, malaisant et angoissant mais oh combien addictif ! »
Élodie, Librairie Charlemagne
« (…) Un bouquin qui recherche le malaise du lecteur et qui y parvient fantastiquement. (…) »
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Frédéric Kilfiger, Case à bulles, Vosges TV
« (…) Le magnifique dessin, en ligne claire et aplats de couleur, nous plonge alors dans un captivant thriller étrange et envoûtant qu’on ne lâche plus jusqu’à la dernière page. Une très belle lecture. »
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Frédéric Grivaux, ZOO
« (…) Un roman graphique à l’esthétique léchée, qui oscille entre tendresse et horreur… »
Géraldine, Librairie Nos années folles
« Ce thriller fantastique au parfum d’étrange est mené d’une main de maître par Aurélien Maury. »
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Florian Moine, AVoir ALire
